Un télégramme c’est un peu court pour vous raconter tous les périples de cette première étape, donc on vous en dit un peu plus ici :
Un approvisionnement lent mais de qualité !
Pour rappel, le crowdfunding s’est terminé le jeudi 6 Juillet, c’est donc le samedi suivant que Guillaume était dans l’avion, direction le Bangladesh, afin de lancer la première production. A peine remis de ses émotions et des rêves plein la tête (400% de l’objectif, ce n’est pas rien ! 😉 ), il s’est empressé de réaliser quelques modifications sur les sacs. Pas de panique ! Le style n’est pas modifié, ce ne sont que des optimisations suite à certains retours !
Ensuite est venu le temps de sélectionner et approvisionner les matériaux (Tissus, cuirs, accessoires, doublures, fils de couture etc…). Une grande partie était déjà faite, il ne restait plus qu’à valider le cuir. Après plusieurs visites, nous avons trouvé LE cuir que l’on cherchait. Robuste car épais et respectueux de l’environnement car tanné végétalement. Bref, un cuir sans coloration et sans traitement supplémentaire afin qu’il conserve son aspect authentique. C’est donc un cuir facile à entretenir et qui durera un bout de temps !
Des artisans heureux et optimistes pour l’avenir
L’aventure fût une nouvelle fois de mise pour aller voir les artisans, les tisserands, les tanneries et autres ! Un voyage long et éprouvant (merci aux délicieuses mangues d’avoir compensée le temps horrible de la mousson !). Après visites et réunions, il est clair, que se sont des artisans satisfaits de maîtriser de nouvelles expertises et bientôt de nouvelles machines (!?). Et comme ils disent là-bas « Inshallah, ça sera fait à temps » 🙂
Nous sommes heureux que toute la communauté Bhallot ait permis d’avoir un réel impact positif au Bangladesh, aussi bien dans le secteur du jute que dans la manière de travailler. Nous croyons que nous sommes au début d’une grande aventure qui nous permettra d’aller encore plus loin dans l’éco-conception, le commerce équitable, le respect d’autrui et de l’environnement.
Le télégramme de Guillaume :